le promoteur du projet agit sur le terrain comme si son projet était autorisé !
Cette méthode "du sure de soi" tien de la provocation aux opposants et du défi aux autorités et à leurs règlements. Chacun pourra faire le constat désastreux de ce comportement malhonnête.
Prétextant l'obligation prescrite par l'état de faire des fouilles préventives d'archéologie sur le site du projet, le maire a décider de profiter de la possibilité de faire exécuter ces travaux par anticipation. Rappelons que cette autorisation de fouille d'archéologie préventive n'a pas d'obligation d'anticipation par rapport à l'acceptation du projet.
En octobre et novembre 2014 les opérateurs missionnés par la DRAC ont exécuté les fouilles. Ils ont effectués des sondages sur l'emplacement du plan d'eau de la Normandelière qui a nécessité le perçage de la Bâche étanche du fond de bassin.
Constatant les dégâts, La Vigie s'est empressé de demander à la DRAC à qui incombe la réparation pour remettre le plan d'eau en service pour la saison 2015.
La DRAC indique à La Vigie que c'est à la charge de la municipalité commanditaire. La Vigie et les opposants interpelleront la municipalité et le maire répondra en conseil qu'il ne veut pas réparer les trous, même pour un euro !
Il y a faute ou volonté délibérée ! et pourquoi ?
Manifestement, le résultat était voulu, prémédité. En l'absence d'avancement du projet, le promoteur veut donner l'illusion d'un projet acté qu'il va démarrer.
Sur le haut de la dune le détournement du chemin belvédère soit disant pour les fouilles, érode la dune.
L'espace dunaire est livré au saccage. La protection du pied de dune sur la plage est enlevé sur la partie correspondant au tracé du chenal dans le projet et uniquement à cet endroit !
Cela fait le jeu des enfants, mais sans les ganivelles c'est open pour eux en toute innocence.